![]() |
|
#1
|
|||
|
|||
![]()
Salut a tous
il faudrait prendre contact avec les associations et voir leur point de vue par rapport au cannabis medical pour ensuite reflechir avec les organisation et malade a un plan pour pouvoir aboutir sur quelque chose.Mais comment faire par la suite pour ne pas tomber sur le coup de la lois l-630 du code penal de santé publique?? |
#2
|
|||
|
|||
![]()
En fait lorsqu'on regarde l'histoire de la dépénélisation de l'usage médical dans certains pays comme les USA ou le Canada, on voit toujours que ce sont les patients qui démarrent la démarche. Les patients souffrent et donc en viennent à interpeller leurs médecins .... et ce n'est que lorsque le coprs médical est "convaincu" et partie prenante que les politiques alors se doivent de bouger. C'est un long processus et IACM y a énormément contribuée en Allemagne.
On voit bien qu'en France nous partons de loin. En revanche l'idée de regrouper des Associations (Ligue des droits de l'homme, ENCOD, ASUD, IACM, PArkinson, Alzheimer .....) est très bonne et doit à mon sens être un objectif en soi. A ma connaissance les situations en foncition des associations sont très diverses; certaines seront probablement plutot favorables, mais aussi d'autres sont farouchement contre à cause de leur lien avec le Minstère de la Santé, qui subventionne. Donc effectivement si chacun d'entre nous fait des petits pas pour informer les associations.... alors de grands pas seront probablement possible dans le futur .... Les lois devront de toute manière évoluer. |
#3
|
|||
|
|||
![]()
Bonsoir,
Je suis membre anonyme d'un groupe d'étude de la sitution en France avec la législation et les droits de l'homme. www.lecac.org La legislation du Cannabis en France est criminelle et discriminatoire, car elle veut obliger les gens à s'en passer avec des moyens indignes et irrespecteux de leurs opinions. C'est le résultat de la violente opposition de certaines personnes contre la pratique courrante de fumer qui mobilise les idées répressives, ajouté à cela toutes les études et emissions affligentes à limite du mensonge, qui à convaincu la majorité des gens. Du fait que la loi interdit également les publications et revues cannabiques en librairie, les émissions qui en parlent positivement etc.. L'information n'est pas prête de passer facilement. Heureusement il reste le net, mais pour combien de temps, avant que les lois internet ne placent leurs espions virtuels en ligne.. Dans notre groupe d'étude, nous pensons que la seule manière changer la législation serait de constituer une importante partie civile qui dénonçerait l'invalidé des arguments sur un ensemble d'éléments et notament la santé, sans omettre la criminalité qui en découle et son lot de préjudices. Pour résumer, c'est donc possible, mais avec un nombre suffisant de personnes qui déposent la même plainte et demandent réparation, sans cela, la prohibition fera de notre sort ce qu'elle voudra. Ghislain |
![]() |
Liens sociaux |
|
|